En attendant de retourner à Berlin-est, je compose avec ses restes.
Des arrêts sur image, comme dans ma tête, des postures triturées à posteriori.
Les sensations vécues lors de ces danses in situ circulent en moi comme des tâches persistantes de lumière crue.
Le souvenir est une trace… alors je deviens tracée.
Je me graffitise. Je m’auto-Berlin.