En attendant de retourner à Berlin-est, je compose avec ses restes.
Des arrêts sur image, comme dans ma tête, des postures triturées à posteriori.
Les sensations vécues lors de ces danses in situ circulent en moi comme des tâches persistantes de lumière crue.
Le souvenir est une trace… alors je deviens tracée.
Je me graffitise. Je m’auto-Berlin.
J’aime beaucoup ta présentation, c’est très graphique. Et particulièrement ton animation en noir et blanc, ça fait très BD. Des attitudes, des visages, des expressions,,, figées par saccades à travers les mouvements. J’aime!
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Merciiiiii !!!!
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Je crois reconnaître cet endroit : le Mémorial de l’Holocauste, ce qui rend à cette « berlinade chorégraphique » une tension supplémentaire.
Bravo Mélanie.
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Oui… Bien vu ! Merci !
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Soit dit en passant… mon prénom c’est Macha, en homage à mon arrière-grand-mère russe ashkénaze … 🙂
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Magnifique prénom 😉
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Very, very wonderful Photos. 🙂
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Oups, j’arrive un peu tard, mais c’est très intéressant. La répétition des structures en béton du monument et le fait que tu aies dupliqué les photos donnent l’impression (ou plutôt, me donnent l’impression) d’un enfermement, comme une prison… dans laquelle tu danses libre et sans entrave. J’aime beaucoup !
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Très belle lecture… et d’autant plus intéressante que c’est exactement cette oppression que l’on ressent quand on visite cet endroit… j’ai donc « réussi » cette danse in situ si mes sensations du moment sont palpables à l’œil… MERCI !
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